Opinions sur l’initiation au Poull Ball
Le lundi 25 avril à l’école Singelijn Woluwe-Saint-Lambert, qui était un des gagnants de notre challenge digitale à la fin de l’année passée, une initiation au Poull Ball a eu lieu pour la cinquième et sixième année.
« Pour favoriser l’inclusion, il est important de supprimer les barrières dès l’enfance. C’est pourquoi, pour nos cours E.P., nous collaborons avec une école voisine qui est accessible pour des enfants handicapées telles que des malentendants et des malvoyants. C’est un véritable défi sur le plan pratique. Les avantages qui en découlent nous motivent », déclare Sébastien.
Sébastien – enseignant E.P.
« Le Poull Ball est un sport inclusif qui existe depuis 13 ans et qui est pratiqué dans des pays comme la Belgique, la France et le Canada. Tout le monde, garçons et filles, avec ou sans handicap, participe pleinement. Pourquoi ? Vous travaillez en équipe pour déplacer la grosse balle (55 cm) – en la lançant, en la faisant rebondir… – ou essayer de l’attraper afin de faire tomber l’un des deux cubes. Cela permet de mettre en place de nombreuses stratégies. Vous ne pouvez pas courir avec le ballon », explique clairement François.
François Poull – inventeur Poull Ball
« La mesure de l’impact de l’inclusivité des Urban Youth Games est le sujet de notre travail de groupe. Par conséquent, nous sommes présents à un certain nombre d’événements où nous observons et interviewons des personnes telles que les enseignants. Dans quelle mesure l’organisation fait-elle efficacement ce qu’elle veut faire ? Les playbooks sont-ils utilisés ? Les enfants apprennent-ils à connaître d’autres camarades ? S’inscrivent-ils dans un club de sport après un événement ? Toutes les questions auxquelles nous essayons de répondre », précise Romie.
Romie – étudiante en master en sciences agogiques
« Poull Ball, je ne le connaissais pas avant cette initiation. C’est un sport d’équipe amusant, même si j’ai perdu tous les matchs avec mon équipe. La prochaine fois, nous devrions mieux nous organiser entre nous », dit Uma qui lit pendant son temps libre. « Comme Uma, ce sport m’était inconnu », poursuit son camarade Gaspard. « Il est facile de pratiquer ce sport. Pendant les matchs, j’ai pu vraiment me laisser aller », se dit satisfait Gaspard, qui fait de l’équitation.
Uma et Gaspard – élèves de la 5ème année
